La morphopsychologie appliquée à la coiffure

Par Berenice, le

Présentation d’un guide simple et pratique sur la morphopsychologie qui aidera le coiffeur à accompagner au mieux ses clientes dans la quête de soi : La beauté à l’image de soi par Marc Dugast.

Maîtriser l’image que l’on renvoie aux autres et être en accord avec soi-même, c’est finalement ce que recherche une cliente dans un salon. Elle souhaite certes sortir du salon, plus belle que jamais. Mais elle est aussi dans la définition de son identité à travers la coiffure qu’elle portera. Et c’est là que le coiffeur sera son meilleur conseiller pour lui suggérer la coupe la mieux adaptée. Une lourde responsabilité !

Le cheveu, énergie vitale de l’être

Marc Dugast, coiffeur de métier, s’intéresse à la morphopsychologie depuis 30 ans. Une discipline qui établit des correspondances entre les traits du visage, leur morphologie et la psychologie. En d’autres mots, le caractère d’un individu serait inscrit dans l’étude de son apparence. Le déclic se fait suite à sa rencontre avec Louis Corman. Ce médecin français est à l’origine du terme de morphopsychologie en 1947, et fonde en 1980, la Société française de morphopsychologie. Très rapidement, Marc Dugast prend conscience du cheveu en tant que reflet de la personnalité et de l’être profond. « Le cheveu représente l’énergie vitale de l’être. Il est de la même constitution que les os et les phanères. Il est le fil conducteur entre l’énergie psychique et physique. »

De la morphopsychologie à la morphocoiffure

L’idée lui vient alors d’appliquer la morphopsychologie à la coiffure et au style ou à l’image en général. Après recherches et d’expérimentations, Marc Dugast parvient à créer un lien logique entre ces deux arts. C’est la création de la morphocoiffure. Un travail important qu’il relate dans cet ouvrage La beauté à l’image de soi. Un livre qu’il a autoédité. L’auteur est aussi conférencier en France et à l’international. Il forme les professionnels de la coiffure comme ceux de la beauté d’une manière générale.